L'étoile verte et le séraphin de la putréfaction, Astaroth

AgeAussi vieux que le premier virus de la création

Nationalité/RoyaumeRoyaume de la pourriture, se fait passer pour un français

GroupeDémon Luciférien

Métier/RôlePorter pourriture et maladie à l’humanité

Rang de départRoi

Derrière l'écranDerrière l'écran, je suis Astaroth et j'ai 27 ans. Il s'agit de mon Premier compte. J'ai connu le forum grâce au partenariat avec SNK. Je pense être disponible 6/7 jours. Enfin, j'espère que la maladie vous emportera ;)

Astaroth
Scott Dufort
Personnalité”Solitaire sur ma voie, je parcours à nouveau le monde dans les joies de ce dernier. Guère réjouit par la prolifération de ceux qui ne méritent pas d’êtres. Ils ne viennent qu’à me courroucer de par leurs craintes et leurs actes abjects. Repoussant la nécrose des plaies comme du chiendent, il ne manque pas d’innover dans leurs vils procédés. Il est vrai que mon amour pour le mal-être, pour la peste et le choléra sont uniques. Mais ils ne sont que le cycle de la vie. Un corps vient de la décomposition de celui d’un autre. Et que l’on cherche à se soustraire à ce procédé, ne fait que m’insupporter. Et pourtant, je suis loin de m’animer comme les flammes qui consument mes plaisirs.

Mais la curiosité étant l’un de mes vilains défauts, je ne peux qu’essayer et observer. Lâchant par-ci et par-là diverses choses. Et découvrir le monde des Hommes n’est pas une chose qui me sera de nouveau possible tant la paix est présente. Aussi, je ne rechigne pas à jouir des plaisirs qu’offre tout ceci.”

Telles sont les paroles d’Astaroth. Loin de la Géhenne et de son épouse qui y réside. Il dit ici, qu’il profite des joies de la vie et cela, malgré la haine qu’il éprouve envers les humains. Une haine qui ne vient que de l’incapacités de l’humanité à comprendre la nature de la vie, qui provient de la pourriture et de la mort. Les maladies n’étant que les garantes de ce cycle d’après ses dires.

Ainsi, si la gourmandise et la curiosité sont des défauts à ses yeux. Il n'a pas la même vision que l’humanité et sa malice ainsi que sa complaisance à produire de la souffrance ne lui font pas voir les maladies et virus comme des choses néfastes. On dit, des tortures qu’il procure, qu’elles sont singulières et innovantes à chaque fois. Loin d’égaler celles d’Alastor dans la tourmente, elles sont cependant assez créatives. Et loin de moi l’idée que d’admirer cela. Usant d’insectes, d’animaux, de poisons et de maladies. Il transforme la chair en composte et alimente ainsi le cycle qu’il vénère et génère.

On le dit aussi ami des animaux, et aussi surprenant que cela puisse paraître, il éprouve en effet un amour malsain. Pourrissant les créatures de la vie, venant nécroser les chairs de ses derniers pour les changer en pantins.

Et si ce dernier semble aussi éternel que monstrueux dans ses actes. Il semble que lors de la précédente guerre nous ayons pu affiner notre savoir à son égard. Et là où nous pensions que la médecine serait la première solution face à lui. Nous ne pouvions que nous montrer perplexes devant la simplicité de ses peurs. Que cela soit la lumière ou le feu, il ne semble pas apprécier ces derniers. Les voyants comme des ennemis de ses amis.

Il voit la terre et l’eau comme des amis, bien que moins intimes avec ces derniers qu’avec ses maladies.

La vengeance est ainsi une notion qu’il a en commun avec nous et qui le rend particulièrement dangereux. De cette vengeance provient rancune, colère et orgueil. Trois choses qui le poussent à vouloir s’avancer toujours plus au point même de défaire ce qu’il a pu faire, pour évoluer en un sens. En cela, j’entends bien sûr qu’il a aidé à combattre certaines choses pour les améliorer par la suite.

Je pourrais m’étendre plus sur sa personnalité, mais elle est bien trop farouche à l’étude et il me faudrait mille pages supplémentaires pour n’en consigner qu’une infime partie. Peut-on simplement retenir de lui, qu’il est fourbe. Ne jouant non pas sur les esprits comme de nombreux démons. Non, il est plutôt enclin à jouer de l’ombre. Laissant comme par lâcheté les autres combattre à sa place, mais il ne faut pas s’y méprendre. Car la lâcheté n’est pas ce qui le définit, je dirais même à l’inverse qu’il est en un sens trop orgueilleux pour se soucier des petites choses. Opportuniste, il compte bien saisir chaque occasion qui se présente pour nuire à l’humanité. Etant quelque peu solitaire malgré sa stature, il est presque comme un enfant cherchant des amis parmi les siens. Un enfant à qui on aurait donné entre les mains un trop grand pouvoir. Sa quête en attire toutefois beaucoup à ses pieds. Et loin de se laisser influencer, il en vient même à l'inverse à influencer autrui pour servir ses dessins. Car comme j‘ai pu le souligner, il aime laisser les autres se battre pour lui. Plus par amusement qu’autre chose par ailleurs. Et chez les humains nombreux ont cherché chez lui diverses formes de guérison ou d’immortalité.

Extrait d’étude n°532, du professeur Hammilton, prêtre au sein de l’état Pontifical.

Description Physique
Physiquement, Astaroth se présente sous deux formes. L’une est assez connue de tous, sa forme la plus bestiale, la plus monstrueuse et horrifiante qu’il puisse être offerte aux yeux de chacun.

Une créature démoniaque ayant mille gueules d’où jaillissent mille crocs et canines. De chaque gueule provient une odeur de putréfaction ne manque pas de rappeler les maladies qui ont pu parcourir le monde. On dit même que chacune de ces gueules correspond à une maladie qui a pu causer de nombreuses victimes et cela, que ce soit chez les humains, les animaux ou même encore les démons. De ses maux, nombreux remèdes ont pu être trouvé, mais aucun savant ne connaît les limites de l‘imagination de cette créature. Au sommet de son crâne, deux cornes s’y trouvent. Un étonnant mélange de cornes animales allant de celle du cerf à l’élan, mais elle adopte par la même comme la forme d’une plante, d’une broussaille qui sembler les faire aller dans toutes les directions.

Mais il ne faut pas s’y tromper, elles sont aussi coriaces que le plus dur des métaux. Le crâne tantôt chauve tantôt orné comme d’une coiffure longue aux teintes pales et blanches des fleurs mortuaires. Son nez et lui aussi assez changeant, parfois présent parfois absent comme pour ne laisser que les orifices d’un crâne. Ses yeux quant à eux sont un peu partout, loin d’être aussi nombreux que les gueules, ils sont quelque peu présents sur chaque recoin de sa peau. La lueur de ces derniers semble aborder le vert et bien que clair, il semble pourtant sombre. Il n’a rien à voir avec le vert des yeux humains, mais sembles plus comparables à l’image que l’on peut se faire d’une aura nucléaire ou radioactive.

Loin d’être bouffie comme on peut s’y attendre d’un placard à maladies, il est maigre et dispose de six membres supérieurs. Ses jambes étant comme frêle, ce sont deux de ses bras, les plus robustes, qui assurent son déplacement. Ses autres bras tiennent divers attributs que les légendes ont pu lui attribuer. Des attributs n’étant pas sans intérêt, même si ces derniers furent perdus durant la grande guerre d’il y a 30 ans. Dans son dos se trouves huit ailes, certaines faites comme ses cornes, d’autres de plumes de corbeaux et d’autres encore de brume verte. Il y a même une paire faite d’os pointus. On dit que ses ailes peuvent toutes s’unir sous l’une de ses formes ou bien être aussi diverses et variées que ces quatre formes.

Ainsi, on comprend que dans sa globalité, qu’il est maigre de corps et surtout au niveau des jambes où ne réside que la peau pour tenir les os. Ses dignes des grands mastodontes et au nombre de six, dont aussi grand que son corps. Un corps qui ne mesure pas moins de trois mètres de haut. Et une couleur de peau verte ou blanchâtre selon ses humeurs morbides. Mais de tous ses attributs, c’est bien son regard qui reste en mémoire de chacun, venant à percer les plus profondes ténèbres.

Son autre apparence, celle qu’il a choisi d’adopter à son retour dans le monde des humains et loin de la caricature horrifiante qu’il aborde dans la Géhenne. Incarnant comme l’inverse de tout ce que l’on peut imaginer du fait d’être maladie ou mourant. Il respire la jeunesse que nombre d’humains pourraient envier. Le faciès avantageux et loin d’être repoussant, nul doute qu’il a pu recevoir l’influence de sa femme dans la Géhenne qui incarne la beauté, la fertilité et surtout l’élégance. Mais qu’importe, aussi s’il est jeune, il dispose d’un corps avantageux qui lui permet d’aller en quelque sorte là où il veut. Il faut entendre par-là, que de par ses capacités un peu hors normes, mais camouflées derrière un beau sourire. Il a pu s’enrôler dans les forces humaines. Une couverture comme une autre, mais qui lui vaut de tailler son corps pour en obtenir une enveloppe à l’allure athlétique. De par son jeune âge, on le voit même comme candide de par les expressions qu’il aborde. Sa chevelure est blond vénitien et sa peau blanche. Sur ses bras, jambes et torse, on y retrouve quelques cicatrices. Sa forme humaine ne mesure alors seulement que 1m73. Et si ses yeux sont bleus, certains ont cru voir par instant un éclat vert se reflétant dans ces derniers, qu’il soit éphémère et que l’on ne voit ça que comme une hallucination.

Et comme pour mieux piéger ses victimes, son apparence humaine émet comme une odeur enivrante et attirante. Et tout comme l’hallucination visuelle, il peut arriver à certains comme d’entendre une mouche ou une guêpe voler près d’eux sans qu’ils ne puissent l’apercevoir même si cela est plus rare.
Mille crocs et gueulesMaladeJeuneOdeur attirantemilitaire

HistoirePar où devrait-on commencer ? Par le début ? Il est long et insipide, loin des grandes épopées que peuvent connaître les héros de l’humanité. Mais on peut évoquer quelques brides de tout ceci.

Ainsi, lorsque la vie vint, la mort arriva avec elle. Tout n’était que cycle, un cycle craint par beaucoup, mais révéré par peu. Et parmi cette poignée se trouvait Astaroth. Loin d’être le démon à l’allure monstrueuse qu’il est aujourd’hui. Il fait preuve même d’une apparence démoniaque assez charismatique. Bien loin de Lucifer cependant ou même de la Reine des flammes. On le voit même comme le petit dernier, le mal aimé que l’on veut protéger. Qui n’aspire aucune crainte et qui en appel à la compassion. Dans son royaume, ne résidait alors que la vie. Une vie folle et verdoyante qui parcourait la Géhenne. Une vie qui s’adaptait aux humeurs de son maitre. Si bien que lorsque la haine et la colère vinrent à pénétrer le cœur du démon. Une chose qui fut naturelle si l’on peut le dire chez lui. Les plaines devinrent des marécages d’où ne sortent que monstres et bulles graisseuses à l’odeur peu appétissante. Mouches géantes et autres insectes cherchaient leur proie chez tout ce qu’il pouvait passer sous les crocs et mandibules. Une brume, vert et noir enveloppe les marais et les bois morts pour ne plus laisser passer qu’une lumière verte d’un astre que l’on dit être Astaroth lui-même. Veillant sur son monde de mort et de pourriture. Dans ce monde, même les morts ne se reposent pas et cherchent à regagner leurs chaires perdues. Mais dans ce royaume aucun si ce n’est Astaroth et sa femme ne sont exempts d’être dévorés, sauf peut-être les autres Rois.

Là, dans sa pseudo-solitude, le démon Roi se complaisait, mais voici qu’il découvrit alors par le biais de rumeur ou l’aide d’autres Rois l’existence d’autre chose. Des humains. Observant un temps ces derniers et remarquant leurs étranges idées. Il ne pouvait que se consterner devant le manque de respect envers le cycle. Un cycle que les humains cherchaient sans cesse à briser ou du moins à repousser. Et s’il n’y avait que de la volonté, Astaroth n’aurait rien dit à cela, mais voici que la science comme les humains disaient, venaient à les aider à repousser les maladies. Dans un long râle, il parvient à dépasser sa colère qu’il ne peut parfois taire, il vient à éprouver de la curiosité pour le monde des Hommes. Non pas envers ces habitants directement, mais envers leurs méthodes pour lutter contre ses dons. Car si l’on connaît le remède et que l’on connaît la maladie, on peut alors observer chaque aspect de la maladie et l’améliorer. Que cela soit dans ses bienfaits ou dans ses malédictions.

Mais l’une des premières actions connues que l’on attribue à Astaroth chez les démons, fut lorsqu’il s’en alla dans le Royaume que l’on nomme aujourd’hui Egypte pour y répandre sa haine. C’est dans les ténèbres de la nuit que vint son fléau. Un fléau que l’on attribue aux divins alors qu’il relève d’une nature démoniaque. Le fléau prit de nombreuses formes comme la famine avec les nuées de sauterelles. Ou bien encore celle de la mort, une maladie venant à nécroser les corps. Mais là encore, l’humanité choisit d’accepter d’avoir des sacrifices et parvint par divers moyens à contrer les sauterelles en usant de flammes. La maladie, quant à elle, fut contenue par la lumière puis enfermer dans un cercueil de pierre pour ne plus jamais en sortir.

Après cette visite, son père ne manqua pas de le sermonner. Non pas pour son acte causant des milliers de morts, mais pour son manque d’efficacité à avoir créé quelque chose qui put être contenu. Au fil des siècles passant, qui ne semblèrent qu’un battement de cils pour lui, Astaroth retourna dans le royaume des Hommes. Non pas cette fois-ci pour apporter la mort et la désolation à l’humanité. Ce fût dans le but d’expérimenter à présent, il vint à octroyer quelques-uns de ses savoirs à un peuple que l’on nomme les Grecs dans un premier temps. Auprès de gens qu’ils nommaient philosophes et érudits, la médecine connut ses premières heures. Mais le savoir offert dépassant de très loin leur entendement, tout ne fut que brouillon. Déçu de cela, il décida de se rendre sur d’autres îles, d’autres parcelles de terres, qui plus tard eurent pour nom Afrique et Amérique. Là-bas, il décida de compartimenter le savoir pour observer diverses formes d’évolutions. Face au savoir primitif de chaque continent où il s’en alla, il vient leur opposer des maux mineurs qui pourtant sembler assez efficaces. Notamment l’un d’eux qui causa aux débuts quelques morts, mais qui aujourd’hui n’est guère qu’une gêne, le rhume. Une maladie qui avait pour but de fragiliser les Hommes pour finalement laisser autre chose les tuer. Loin d’être un succès, le père d’Astaroth, l’étoile verte de la Géhenne ne manqua pas de le réprimander une fois encore. Mais le démon était ravi de voir ses différents laboratoires prendre forme. Et en guise d’offrande à sa personne, il se permit de lancer un nouveau mal sur la cité-état que l’on nomme Athènes. Là-bas, on dit que les morts revinrent à la vie et une lutte s’engagea, mais là aussi l’humanité remporta la bataille. Elle n’eut d’autres solutions que de brûler l’Acropole le temps de détruire le Mal avant de reconstruire ce lieu. Loin d’être ravi de cela, il offrit au plus haut prêtre d’Athènes un cadeau empoisonné. Une pomme d’or qui offrait l’immortalité à ce dernier. Mais la pomme en question était rongée par des vers, et lorsque l’homme la croqua, les vers vinrent s’insinuer dans son cerveau. L’homme en question était proche des dirigeants de la cité, et de par la douleur qui le rongeait et la folie qui le gagnait, il conseilla à ces derniers de débuter la guerre du Péloponnèse. Et si l’homme y laissa sa vie dans cette guerre, Astaroth venait de comprendre que la guerre était un autre moyen de pouvoir propager ses maux. Dès lors, alors qu’il est l’incarnation de la médecine, de la mort, de la pourriture et de la maladie il devient aussi une figure de la guerre.

Mais les années passent et d’autres influences en Amérique viennent à rendre méfiants les humains à l’égard de l’étoile verte. S'insinuant sous les traits des icônes d’Europe, soit celle d’un Séraphin. Il vint à conseiller, à orienter un homme. Un certain Christophe Colomb, lui offrant le but illusoire de trouver une nouvelle route pour les Indes. Des hommes d’Europe, des Nordiques, avaient déjà pu rentrer en contact avec les humains d’Amérique. Mais le contact fut sporadique. Ainsi, cette fois-ci le contact ne serait pas éphémère et à l’inverse, il serait enclin à l’hostilité la plus grande. Mais le démon ne comptait pas seulement sur la guerre pour punir ces Hommes. D’un baiser mortel, il infecta tout un port, celui qui accueillait les équipages s’en allant vers les Indes, bien que le but fût les Amérique. Un des marins eut la mauvaise idée que se procurer du plaisir avec l’une des filles de joie du port. Une fille que le démon avait maudite de maladies d’un simple baisé.

Rapidement, les pratiques de la guerre et les nombreux voyages vinrent amener le chaos et la désolation en Amérique. Leur culture vint même à disparaître, ne laissant plus que des ruines vénérant un souvenir lointain. Une punition pour l’humanité qui valut au Roi démon des félicitations de la part de son père. Si le poids sur l’ensemble de l'humanité était faible, il y avait là, plus de mal dans le cœur des Humains.

Mais tout plaisir à une fin et d’autres démons souhaitant se venger de leurs congénères conseiller diverses méthodes aux Hommes ou du moins des indices. Et par une intelligence venant d’une source qui fut inconnue aux yeux d’Astaroth. Les humains vinrent à créer diverses formes de moyens de lutter contre les démons. La science évolua aussi et la médecine en fît tout autant. Venant alors à dépasser les prévisions d’Astaroth. Jamais le Séraphin de la putréfaction et roi du sel ne se saurait douter de pareilles avancées. Dans son orgueil le démon tenta un dernier coup d’éclat, les guerres Mondiales. Si lors de la première, il avait pu enseigner le gaz moutarde et autres joyeusetés. A la seconde, il créa des procédés infâmes pour réduire le nombre d’humains, et même des cultes spécifiques. Et cela que ce soit en Amérique, en Asie, en Afrique ou en Europe. Mais là aussi, les Humains vinrent à clore ses périodes sombres par divers moyens dont certains échappent encore à la connaissance d’Astaroth. Mais le temps avançant, les technologies qu’Astaroth combattait, devinrent des alliées fidèles. Les Hommes avaient su produire de quoi se tuer inconsciemment. Si les armes de guerre devinrent plus mortelles, les produits chimiques, et même certains poisons qu’ils nommaient remèdes venaient à les tuer en son nom. Les cieux et l’air devinrent de plus en plus propices aux dons de l’étoile verte.

Mais voici que la guerre vint à prendre fin alors que durant cette même guerre Astaroth eut des avantages à voir les humains se développer, ces derniers eurent le dessus. Dans un râle, il lâcha un soupire qui provoqua dans le monde des inconscients une maladie qui les paralysa le temps d’une poignée d’années. Mais devant la légion d’exorcistes, il ne pouvait que céder. Et loin d’être capable d’éliminer le Roi démon, ils vinrent à le renvoyer dans la Géhenne. Le père des Maladies et de la Médecine, impuissant devant le nombre que sont les humains. Une chose fut claire à présent, l’importance que d’éliminer cette espèce. La manière directe n’avait concrètement pas fonctionnée, se dit le démon. Il resta alors pensif dans sa forêt de mort et son marais putréfiant.

Puis le frère d’Astaroth vint après quelques instants longs d’une trentaine d’année pour les humains à causer des fissures au niveau des portails scellés. N’hésitant pas un instant à s’engouffrer dans la faille comme son frère. Il ne le suivait pas et il s’en allait même de son côté, sa lumière l’accablant plus qu’autre chose. Là, sur les conseils de sa fidèle et aimante femme avant son départ, il fit le choix de prendre une apparence plus gracieuse, plus plaisante. Sous l’apparence d’un Français, il s’engagea dans les forces armées de ce pays pour en devenir un médecin. L'intérêt de ceci étant avant tout sa proximité avec la maladie et l’ensemble des pays et royaumes qui compose le monde des Humains. Mais le démon était malin et préférant se glissait discrètement à nouveau dans ce monde, il vint à camoufler son essence. A la bloquer comme dans une zone où le temps est suspendu. Un blocage dont seul lui a le secret, mais qui lui vaut d’être moins repérable et identifiable aux yeux des exorcistes en échange de sa puissance amoindrie. A présent, sous sa couverture qu’est Scott Dufort, il rejoint une unité militaire spéciale en charge des problèmes internes en tant que médecin de cette équipe. Cette même couverture, ayant comme couverture, le fait qu’il soit médecin dans un hôpital.

Léon Kennedy Resident Evil

02/04/2023

Un roi est parmi nous, BIENVENUUUUUE ! 1697136925

07/02/2023

Coucou petit frère 1096575050

Sans rancune pour ton fléau égyptien que j'ai scellé parce qu'à l'époque j'aimais bien les humains et ça m'embêtait que tu niques une civilisation à qui j'ai appris à construire des pyramides de fou ! Hein ? 589183710

Faudrait d'ailleurs que je pense à desceller ce truc, ça peut être utile maintenant que j'ai changé d'avis 4018565050

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J'ai bien aimé ton histoire, mais attention, tu te répètes souvent, tu fais de belles fautes et j'ai pas compris ce changement de pronom (il à je) dans les derniers paragraphes. Relis toi un peu.

Et j'ai rien compris à ton apparence, donc je vais imaginer un Azathoth ou un Shoggoth, oké ? :'D.

Bref, BIENVENU et ta fiche est en cours de validation.

Merci, alors pour l'apparence démoniaque rien à voir avec Azathoth ou Shoggoth. Faut plus voir un homme rachitique avec six bras, dans deux supérieurs en taille comparé aux autres qui lui servent de jambes. Et un peu partout sur le corps des bouches avec quatre paires d'ailes dans le dos. Mais besoin je peux faire un dessin si besoin.

En effet, il y avait beaucoup de fautes, sans nul doute avec la fatigue je n'ai pas fait attention. J'ai essayé de corriger au mieux, mais il doit en rester.

19/02/2023

Validé(e)!Bravo à toi, Astaroth ! te voilà fin prêt(e) pour la grande aventure sur le forum !

Alors, il te reste encore quelques petites fautes de frappe, mais en soit, rien de grave puisque c'est juste minime et qu'on comprend facilement. Si tu souhaites faire des revisites de tes textes en cas de besoin, tu peux utiliser BonPatron ou tout autre site qui pourront t'aider à corriger ces quelques fautes.

Pour la suite, j'ai bien aimé ton personnage, un sacré petit sadique celui-là. Ton histoire est simple mais marche très bien avec Astaroth et c'est sans attendre que je te valide.

Maintenant que ta présentation est validée, il est temps pour toi de finaliser quelques petites choses : tout d'abord en allant recenser ton avatar ici puis de faire ta fiche technique et si tu le souhaites ouvrir ton journal de bord. Avant de te laisser filer vers ta destinée, le staff t'octroie 30 Crowns en guise de cadeau !

Merci à toi et bon et bon RP parmi nous !